Inscrivez-vous ou Connectez-vous pour bénéficier de toutes les fonctionnalités de ce cours.
Depuis le moyen-âge, en occident, il existe 2 types de notation pour écrire la musique :
Il s’agit de la prononciation des notes de musique sous forme de syllabes (Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si) utilisée dans les pays dits “latins” ( France, Italie, Russie, Grèce, Portugal, Russie, Roumanie, Espagne et Turquie).
Au XIe siècle, le moine Guido d’Arezzo invente un système de notation musicale dans lequel les notes
sont chantées sur des syllabes. Il eut l’idée d’utiliser les premières syllabes de l’hymne de Saint Jean-Baptiste pour nommer les notes.
La note Ut est devenue au XVIe siècle Do car elle était plus facile à énoncer en solfiant (chanter en nommant les notes de musique).
Il s’agit de la prononciation des notes de musique sous forme de lettres (A, B ou H, C, D, E, F, G) utilisée dans les pays dits “protestants” (Les pays Anglophones ainsi qu’en Allemagne, Pologne et Russie).
L’utilisation de lettres de l’alphabet pour nommer les notes de musique n’est pas nouvelle.
Au Ve siècle avant Jésus Christ, les grecs utilisaient déjà l’alphabet ionien (d’alpha à oméga) pour nommer les notes de musique.
Voici la correspondance entre la notation alphabétique et la notation syllabique :